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Présente ton job ! Chef d’équipe à la maintenance !
Publiée leAntoine Lequitte chef d’équipe à la maintenance nous raconte son parcours !
Quel est ton parcours scolaire et professionnel ?
Après avoir effectué un Bac pro Electrotechnique, énergie et équipements communicants (eleec) j’ai effectué un BTS en maintenance industrielle à Caudan, le BTS était en alternance et je l’ai réalisé à Celvia sur le site de Sérent.
Suite à mon BTS j’ai été, durant 1 an, ouvrier de maintenance, puis je suis passé en technicien de maintenance durant 2 ans et demi avant de devenir chef d’équipe depuis 2018.
En quoi consiste les métiers de la maintenance ?
Les métiers de la maintenance sont très diversifiés. On passe du responsable maintenance à l’ouvrier de maintenance en passant par le magasinier.
Le rôle du responsable maintenance est de piloter toute l’équipe maintenance.
Le chef d’équipe planifie et organise l’équipe au vu des interventions dans les ateliers et va au soutien des techniciens en cas de surcharge de travail.
Les techniciens de maintenance en journée ont plusieurs missions. Ils vont maintenir les machines en fonctionnement pour permettre la production mais également faire du dépannage pour réparer les machines en panne et proposer des améliorations pour prévenir des prochaines pannes.
Les techniciens de maintenance de nuit, ont eux, plutôt un rôle de prévention. Ils vont notamment démonter les machines pour éviter des casses. Leur rôle est de faire des actions sur les machines éteintes pour ne pas perturber la production.
L’ouvrier de maintenance, va faire de la maintenance de premier niveau. Ses missions sont très diverses car ils vont faire de la maçonnerie ou de la peinture par exemple. En journée, le rôle de l’ouvrier de maintenance est principalement axé sur des missions de bâtiments (peinture, maçonnerie, changement de lampe…) et en nuit il s’agit principalement de préventif comme des changements de lames par exemple.
Les compétences techniques nécessaires selon moi seraient : l’électrique, la mécanique, la soudure, l’automatisme.
Et les savoir-être seraient : Goût pour le travail en équipe, la cohésion d’équipe et de l’organisation.
Qu’est-ce qui te plaît dans ton travail ?
Ce qui me plaît dans mon travail, c’est la diversité. Le fait de toucher à tout et de ne jamais faire la même chose, en fait, mes journées ne se ressemblent pas. La par exemple, nous ne sommes que mardi et j’ai déjà fait de l’électrique, de la mécanique, des devis…
Il y a aussi le travail en équipe et la bonne entente entre nous. Cette fameuse simplicité que l’on retrouve dans les valeurs de SBV. Il y a une super ambiance, on se complète tous, chacun apporte ses compétences, c’est un vrai plus ! On se complète vraiment car certains vont préférer faire une tâche en électricité par exemple tandis que d’autres seront plus à l’aise avec du travail mécanique. La moyenne d’âge est relativement jeune et nous sommes une équipe efficace.
L’avantage d’être à Sérent c’est aussi la chance de participer à de nouveaux projets et de travailler sur de nouvelles machines. A la maintenance on va vraiment suivre l’évolution des machines : on va la construire et la réparer quand c’est nécessaire.
Un mot pour attirer une personne à se lancer dans la maintenance ?
Je dirais la diversité, l’idée de « toucher à tout » ! C’est varié et il n’y a pas deux journées identiques.
Et concernant la spécificité du site de Celvia Sérent, je dirais les nouveaux projets qui permettent d’acquérir de nouvelles connaissances.
Avez-vous des liens entre les autres personnes travaillant pour la Société Bretonne de Volaille ?
Oui, déjà lors des formations ont crée des liens et on va croiser des techniciens de maintenance ou des chefs d’équipe. Parfois, on garde aussi contact avec des gens de notre école.
On est solidaire entre nous, par exemple, on va appeler les autres sites pour s’entraider en cas de pannes. Ce sont justement ces liens crées en formation qui permettent les échanges. On a pratiquement les mêmes âges donc on se croise souvent.
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